Harry’s Day
Au plein cœur de la nuit, chacun, sans doute, aura pu rêver à loisir de ce ’’Harry’s Day’’ qui s’offre enfin à nous.
Harry de Sussex ? Sujet bien trop polémique pour faire de beaux rêves. Harry Callahan ? Bien trop radical pour en faire un rêve. Harry Belafonte ? Bien trop beau pour que le rêve soit crédible…
Je vous parle d’un Harry que les moins de 30 ans ne peuvent pas ne pas connaître : mais oui… le Harry !
À ne pas confondre avec Philippe III, dit ’’le Hardi’’, roi de France, il y a ’’fort fort’’ longtemps, et donc, de fait, qui n’était pas chauffeur de car – car de car, il n’y en avait pas au XIIIᵉ siècle…
Mais c’est ici une toute autre histoire, qui n’offre pas autant d’intérêt que ce qui apparaît à nos yeux chassieux de fatigue, mais non moins ébahis : ’’The fabulous (troubadours) Harry Potter Studio !’’
Autre récit – On the road to Camden
’’We’re on the road to Camden, come on inside…’’
Potter, c’est fini, et dire que c’était… aux dires des élèves, super bien.
Retour vers ce Londres qui faisait la pluie (évidemment) et le beau temps, au mitan des 60’s. Swinging London.
10 années s’écoulent et Londres singe New York. Malcom s’inspire d’une jeune Uruguayenne, les tissus se déchirent, les cheveux se dressent, Margaret devient la dame de fer.
La jeunesse retrouve l’énergie brute. Le rock est simple, franc et direct. London calling !
Nous répondons à l’appel.
🎧 Camden sound
Autre récit – Derniers instants londoniens
En bord de Tamise, un cormoran étend ses ailes. Pas très loin, un homme étire ses jambes.
Le car essaye de s’échapper des griffes londoniennes. Circulation féroce.
Les rayons du soleil caressent mollement les briques des façades victoriennes. London’s burning.
C’est le moment de rejoindre Dartford. Une dernière nuit dans les familles.
Demain, ce seront les au revoir, la pierre de Rosette, peut-être, dernières emplettes sans doute.